Avant de descendre pour les profondeurs des canyons, le rez-de-chaussée de l’espace Villeneuve Bargemon accueille les œuvres de deux artistes de la mer : les méduses plastiques de Gwenaëlle d’Azémar et les bancs de poissons métalliques de Pierpaolo Brena. Ces deux artistes engagés travaillent à partir de matériaux de récupération pour restituer le ballet aquatique.
Illustratrice et plasticienne à Marseille
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Livre jeunesse Vers la vallée profonde
Contact : gwendaz(Replace this parenthesis with the @ sign)rocketmail.com – 06.64.29.27.37
Les vagues, le vent, la terre… et les bêtes dedans.
Bretonne accrochée au rocher de Marseille, je suis plasticienne, dessinatrice, musicienne et citoyenne engagée. Je m’aventure, du dessin à la plasticité de la matière, dans des créations aériennes. Des réalisations en ondulations et transparences inspirées de la mer, du vent, de l’animal ou du végétal. Un mouvement, un geste, une danse.
Les méduses plastiques
Entièrement réalisées à partir de matériaux de récupération glanés dans les rues de Marseille ou grâce au travail de récupération de plusieurs associations ou entreprises engagées dans le recyclage du plastique en mer ou sur terre : Palana environnement, Sauvage, la Plastiquerie. Les premières ont été réalisés après la grève des éboueurs et les pluies de novembre 2021 qui avait charriés des tonnes de déchets plastiques sur le littoral marseillais.
Sculpteur et réalisateur à Sanary-sur-Mer
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Télécharger son dossier artistique (PDF – 17 Mo)
Contact : pierpaolo.brena1(Replace this parenthesis with the @ sign)gmail.com – 06.30.15.63.99
Le projet
Nature sculpture
La philosophie du projet ? Tirer parti du pouvoir communicatif de l’art pour partager des enseignements scientifiques et inspirer, inciter le public à les appliquer davantage pour une meilleure résilience écologique, économique et sociale.
L’exposition
De l’individu à l’ensemble, la nature transcende
Une série de sculptures suspendues représente des bancs de poisson et d’autres formations complexes observées dans la nature. Les œuvres restituent l’émotion vécue sous l’eau, au contact des ballets aquatiques de bancs de poissons. Elles montrent également comment plusieurs unités similaires interagissent pour former un ensemble aux propriétés nouvelles.
« L’ensemble vaut plus que la somme des parties » : l’exposition aborde ce phénomène universel, observé aussi bien dans les mouvements synchronisés de groupes d’animaux que dans l’écoulement du trafic dans les artères urbaines, la dynamique d’un krach boursier, etc.
Cette notion est explicitée par un parcours pédagogique qui guide le public à travers les œuvres. Nous y abordons les comportements de groupes d’animaux qui s’adaptent à leur environnement, les principes d’auto-organisation observés dans les systèmes naturels, le lien entre diversité et résilience… autant d’enseignements pour l’homme face à ses défis environnementaux et sociaux.